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    Micrographie photonique d'Aspergillus sp. Champignon. — Photo de stock
    Micrographie photonique d'Aspergillus sp. Champignon.
    Micrographie photonique d'Aspergillus sp. Champignon. — Photo de stock
    Micrographie photonique d'Aspergillus sp. Champignon.
    Examen de la boîte de Pétri au microscope. — Photo de stock
    Examen de la boîte de Pétri au microscope.
    Examen de la boîte de Pétri au microscope. — Photo de stock
    Examen de la boîte de Pétri au microscope.
    Examen de la boîte de Pétri au microscope. — Photo de stock
    Examen de la boîte de Pétri au microscope.
    Examen d'un échantillon bactérien au microscope. — Photo de stock
    Examen d'un échantillon bactérien au microscope.
    Micrographie photonique d'Aspergillus sp. Champignon. — Photo de stock
    Micrographie photonique d'Aspergillus sp. Champignon.
    Illustration 3D de la bactérie Coxiella burnetii. Cette bactérie affecte les humains et d'autres animaux tels que les bovins, les moutons, les chèvres, les chats et les chiens. C'est la cause de la fièvre Q, une maladie fébrile, grippale, hautement infectieuse — Photo de stock
    Illustration 3D de la bactérie Coxiella burnetii. Cette bactérie affecte les humains et d'autres animaux tels que les bovins, les moutons, les chèvres, les chats et les chiens. C'est la cause de la fièvre Q, une maladie fébrile, grippale, hautement infectieuse
    Particule du virus de la rougeole, illustration. Ce virus, du groupe des virus Morbillivirus, se compose d'un noyau d'ARN (acide ribonucléique) entouré d'une enveloppe recouverte de protéines de surface hémagglutinine-neuraminidase et de protéines de fusion. — Photo de stock
    Particule du virus de la rougeole, illustration. Ce virus, du groupe des virus Morbillivirus, se compose d'un noyau d'ARN (acide ribonucléique) entouré d'une enveloppe recouverte de protéines de surface hémagglutinine-neuraminidase et de protéines de fusion.
    Particule du virus de la rougeole, illustration. Ce virus, du groupe des virus Morbillivirus, se compose d'un noyau d'ARN (acide ribonucléique) entouré d'une enveloppe recouverte de protéines de surface hémagglutinine-neuraminidase et de protéines de fusion. — Photo de stock
    Particule du virus de la rougeole, illustration. Ce virus, du groupe des virus Morbillivirus, se compose d'un noyau d'ARN (acide ribonucléique) entouré d'une enveloppe recouverte de protéines de surface hémagglutinine-neuraminidase et de protéines de fusion.
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
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    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
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    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
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    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Virus Nipah dans les poumons, illustration conceptuelle par ordinateur. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
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    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
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    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
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    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes
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    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
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    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
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    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes — Photo de stock
    Bactéries Cutibacterium (anciennement Propionibacterium), illustration informatique. Il s'agit d'un exemple de bactéries non pathogènes présentes sur la peau humaine, où elles sont bien adaptées à l'acidité naturelle. Un exemple est Cutibacterium acnes
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour. — Photo de stock
    Illustration de la liaison des virus Nipah aux récepteurs sur les cellules humaines, un stade initial de l'infection Nipah. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour.
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs. — Photo de stock
    Particules de virus Nipah, illustration informatique. Le virus Nipah est zoonotique (transmis aux humains par les animaux) et a été découvert pour la première fois en Malaisie et à Singapour chez des personnes ayant eu un contact étroit avec des porcs.
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain. — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain.
    Tuberculose bactérienne, illustration 3D. — Photo de stock
    Tuberculose bactérienne, illustration 3D.
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain. — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain.
    Illustration d'anticorps anti-VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine-1) complexés avec des peptides mimotopes — Photo de stock
    Illustration d'anticorps anti-VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine-1) complexés avec des peptides mimotopes
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain. — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain.
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain. — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Il s'agit du principal composant du microbiome de l'intestin grêle humain.
    Tuberculose bactérienne, illustration 3D. — Photo de stock
    Tuberculose bactérienne, illustration 3D.
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales — Photo de stock
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales — Photo de stock
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales — Photo de stock
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales
    Illustration informatique de bactéries à la surface des villosités intestinales — Photo de stock
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    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Composante principale du microbiome de l'intestin grêle humain — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Composante principale du microbiome de l'intestin grêle humain
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Composante principale du microbiome de l'intestin grêle humain — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Composante principale du microbiome de l'intestin grêle humain
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Composante principale du microbiome de l'intestin grêle humain — Photo de stock
    Bactéries Lactobacillus, illustration informatique. Composante principale du microbiome de l'intestin grêle humain

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